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Ne pas rappeler aujourd’hui

Berkshire Hathaway : le passage de relais officiel ! Une lettre manuscrite de 95 ans révélée, tous les secrets du gagnant de la vie dévoilés.


À 95 ans, Warren Buffett va enfin prendre sa retraite.
Ce n’est pas soudain, cela était déjà écrit dans le destin.
Dans sa dernière lettre, il annonce de sa propre main,
qu’il n’écrira plus de lettre annuelle aux actionnaires, ni ne fera de longues allocutions lors de l’assemblée générale.
Dorénavant, il n’écrira qu’une seule lettre chaque année, à l’occasion de Thanksgiving, à ses actionnaires et à sa famille.
Il veut « se calmer ».
Ce n’est pas un adieu, mais une cérémonie de transfert de pouvoir en bonne et due forme.
Il remet officiellement la direction de Berkshire Hathaway à Greg Abel.
Sans exigences excessives, seulement une confiance ferme,
en lui souhaitant une longue mandature.
Ces six mots portent un poids immense.
Car Warren Buffett n’a jamais facilement confié sa confiance à qui que ce soit dans sa vie.
Il a attendu plus de soixante ans pour que Charlie Munger accepte,
et maintenant, il attendait Greg.
Pourquoi Greg ?
Ce n’est pas parce qu’il est plus doué pour gagner de l’argent, mais parce qu’il connaît l’âme de Berkshire Hathaway.
Buffett dit : « Il connaît nos affaires mieux que moi. »
Ce n’est pas de la politesse, c’est la vérité.
Greg, à la tête de Berkshire Energy depuis de nombreuses années, a une compréhension aiguë du risque et une foi inébranlable dans la valeur à long terme.
Plus important encore —
Il n’a pas l’esprit d’un « arriviste ».
Il ne cherche pas à exhiber sa richesse, ni à rechercher la célébrité, ni à construire une dynastie familiale.
C’est cela que Buffett valorise le plus : la modestie, la lucidité, et la priorité aux actionnaires.
Transmettre le pouvoir, ce n’est pas déléguer, c’est se protéger.
Il sait que tout le monde vieillit, que la lucidité peut s’émousser.
Il admet lui-même que son audition, sa vue, sa mémoire déclinent.
Finalement, chacun sera conquis par sa philosophie d’investissement basée sur la valeur, qu’il a cultivée pendant des décennies.
Dans ses derniers moments, il a déjà tout prévu.
Il accélère ses dons de son vivant, confiant sa fortune à ses trois enfants.
Chacun gère sa propre fondation, avec expérience et compétence.
Il a mis en place trois fiduciaires indépendantes, sans conflit d’intérêt, pour assurer la succession.
Il ne compte pas sur ses enfants pour « créer des miracles »,
il souhaite simplement qu’ils soient un peu meilleurs que la moyenne.
Car, à ses yeux, la plupart des fondations et héritiers ont souvent tout gâché.
Sa chance dans la vie n’a jamais reposé sur la « ruse »,
il l’admet franchement :
Il est né en 1930 dans une famille de classe moyenne aux États-Unis.
Sa sœur, tout aussi brillante, a connu un destin très différent.
Ce n’est pas de la justice, c’est la chance.
Il a été sauvé trois fois par des médecins,
alors que beaucoup n’ont même pas eu cette chance.
Il ne s’attribue jamais son succès,
mais le doit à faire ce qui est juste, et à rencontrer les bonnes personnes.
Omaha, ce n’est pas une grande métropole, mais c’est le berceau de sa vie.
Charlie Munger, Doren Kio, Ajit Jain…
Tous ces personnages qui ont marqué sa vie ont grandi là-bas.
Il dit même :
« Si je n’avais pas posé mes valises à Omaha, Berkshire Hathaway ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. »
Conseils de vie pour le commun des mortels
Ce qu’il laisse en dernier, ce n’est pas une formule d’investissement, mais une règle de vie.
1. Ne pas regretter le passé
Si vous avez fait une erreur, c’est qu’elle vous a appris quelque chose. Avancez.
Il n’est jamais trop tard pour s’améliorer.
2. Trouver de bons modèles
Il recommande Tom Murphy, Charlie Munger,
et mentionne aussi Alfred Nobel —
pour une « fausse » nécrologie qui a décidé de changer de vie.
Comment aimeriez-vous qu’on parle de vous ? Alors, vivez ainsi.
3. La bienveillance n’a pas de prix
Un agent d’entretien ou un PDG, ce sont des êtres humains complets.
Ne jugez pas les gens par leur poste, mais par leur humanité.
4. Ne pas se laisser consumer par la jalousie
Il critique ceux qui scrutent toujours les salaires des PDG,
et dès que les chiffres sont publiés, tout le monde commence à comparer.
L’avidité et la jalousie sont toujours liées.
5. Ne pas attendre de donner des ordres après la mort
Ceux qui donnent des ordres depuis leur tombe, ont tous une fin malheureuse.
Il faut donner ce qu’il faut, et lâcher prise quand il le faut.
Buffett dit qu’il est plus satisfait de la seconde moitié de sa vie que de la première.
Jeunesse : à courir après la réputation, la célébrité, le succès.
Vieillesse : réaliser que la vraie satisfaction,
c’est la stabilité de la famille, la sincérité des amis, la conscience d’avoir agi sans reproche.
Il ne cherche pas la perfection, mais à « faire les choses avec dignité ».
Et toute sa vie, il a déjà dépassé cette simple notion de « dignité ».
Ce n’est pas une lettre aux actionnaires,
mais le partage, par un homme de 95 ans, de ses richesses et de ses expériences de vie les plus authentiques et précieuses.
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DemonBrother-in-lawNo.1vip
· Il y a 18h
Aimez, commentez. Frères. Applaudissements.
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