Je ne m'attendais pas à ce qu'@iota soit sur CNBC, commençant à suivre la voie des pays du tiers monde en sauvetage par la courbe.

Je viens de voir la nouvelle, "La Zone de libre-échange continentale africaine a lancé, en collaboration avec le Forum économique mondial, l'Institut Tony Blair et la Fondation IOTA, une plateforme de commerce numérique unifiée appelée ADAPT."

Le sens général est que la fondation IOTA a signé un accord de coopération avec l'ensemble du continent africain, le premier projet pilote se déroulant au Kenya, où il a été particulièrement réussi. Grâce à la technologie IOTA, le pays a numérisé les documents commerciaux, réduisant le temps de vérification des documents de 6-7 heures à 30 minutes. Les exportateurs de fleurs du Kenya peuvent maintenant économiser environ 400 dollars par mois en coûts de paperasse, tout en réduisant les étapes manuelles de 60 à 70 %.

Vous devez savoir que les problèmes de l'Afrique n'ont jamais été un manque de potentiel, mais plutôt un manque de confiance et d'infrastructures unifiées. Les marchandises circulent plus vite que les documents, les banques ne font pas confiance aux données, les entreprises comptent sur les fax, les documents papier et les coursiers pour confirmer. Au cours des dix dernières années, la Banque mondiale et le FMI ont investi dans d'innombrables projets, mais aucun d'entre eux n'a pu résoudre fondamentalement le problème de la "confiance".

IOTA a presque réussi à sauver la situation : au lieu de s'attaquer aux L2 et à la narration sur l'IA en Europe et en Amérique, il aborde le "manque de confiance commercial" qui est le plus douloureux au niveau mondial. Cela ne devrait pas être le premier cas de blockchain à se déployer de manière aussi concrète en Afrique, en espérant qu'il y aura davantage de tels cas à l'avenir.