Récemment, le CTO de Ripple, Schwartz, a de nouveau fait une sortie remarquée sur les réseaux sociaux. Son point de vue principal est très clair : la plupart des blockchains se disent décentralisées, mais en réalité, elles ne sont que des intermédiaires sous un autre nom.
Qu’a-t-il dit exactement ?
En résumé, Schwartz estime que :
Les autres blockchains publiques permettent à certains participants de contrôler la tarification, de geler ou de renverser des transactions
Le XRP Ledger est différent : il n’existe aucun acteur centralisé, et les transactions ne peuvent ni être gelées ni annulées
XRP est la seule véritable monnaie sans risque de contrepartie : accessible à tous dans le monde, sans risque de défaut
Ce discours peut sembler un peu « auto-promotionnel », mais les chiffres soutiennent son propos : la valeur du XRP est directement liée à l’activité on-chain, créant un cercle vertueux.
Encore plus intéressant : ce que fait XRPL
Au-delà de la théorie, XRPL passe à l’action — enregistrer des données génomiques sur la blockchain.
Un projet nommé DNA Protocol a récemment été lancé officiellement en Tunisie. Grâce à DNAOnChain, les laboratoires certifiés peuvent désormais enregistrer et vérifier directement des données ADN sur le XRPL. Cela signifie :
Les données médicales et génétiques sont totalement infalsifiables
Protection de la vie privée + traçabilité permanente
Le XRPL évolue de « chaîne de paiement transfrontalier » à « couche de base pour l’intégrité des données »
C’est là que ça devient intéressant — le XRPL ne se limite plus à la finance, il s’ouvre désormais à la biotechnologie et d’autres domaines.
Quel regard porter ?
Le marché est saturé de discours proclamant « je suis le plus décentralisé », mais peu de projets passent à l’action concrète. Le débat de Schwartz ressemble à une opération de légitimation pour XRP, mais les applications concrètes de l’écosystème XRPL donnent effectivement du crédit à son argumentaire. Reste à savoir s’ils sauront attirer plus de développeurs et d’usages — c’est là le véritable test.
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L’écosystème XRP est en train de faire de grandes choses discrètement, qu’a déclaré exactement le CTO de Ripple ?
Récemment, le CTO de Ripple, Schwartz, a de nouveau fait une sortie remarquée sur les réseaux sociaux. Son point de vue principal est très clair : la plupart des blockchains se disent décentralisées, mais en réalité, elles ne sont que des intermédiaires sous un autre nom.
Qu’a-t-il dit exactement ?
En résumé, Schwartz estime que :
Ce discours peut sembler un peu « auto-promotionnel », mais les chiffres soutiennent son propos : la valeur du XRP est directement liée à l’activité on-chain, créant un cercle vertueux.
Encore plus intéressant : ce que fait XRPL
Au-delà de la théorie, XRPL passe à l’action — enregistrer des données génomiques sur la blockchain.
Un projet nommé DNA Protocol a récemment été lancé officiellement en Tunisie. Grâce à DNAOnChain, les laboratoires certifiés peuvent désormais enregistrer et vérifier directement des données ADN sur le XRPL. Cela signifie :
C’est là que ça devient intéressant — le XRPL ne se limite plus à la finance, il s’ouvre désormais à la biotechnologie et d’autres domaines.
Quel regard porter ?
Le marché est saturé de discours proclamant « je suis le plus décentralisé », mais peu de projets passent à l’action concrète. Le débat de Schwartz ressemble à une opération de légitimation pour XRP, mais les applications concrètes de l’écosystème XRPL donnent effectivement du crédit à son argumentaire. Reste à savoir s’ils sauront attirer plus de développeurs et d’usages — c’est là le véritable test.