Robert Kiyosaki vient de sonner le glas du portefeuille 60/40 — et il mise tout sur le Bitcoin comme voie de sortie face à l’effondrement financier.
L’auteur de « Père riche, Père pauvre » s’est déjà exprimé sur le sujet, mais ce coup-ci, c’est différent. La finance traditionnelle craque sous son propre poids, et Kiyosaki affirme en substance que l’ancienne stratégie 60% actions + 40% obligations est de l’argent mort dans un monde où les devises sont continuellement dévaluées.
Sa thèse : les actifs tangibles, (Bitcoin inclus), sont la vraie solution pour préserver sa richesse quand les banques centrales impriment à tout-va. Que vous y croyiez ou non, il fait partie d’un nombre croissant de voix institutionnelles qui délaissent les allocations traditionnelles au profit des actifs numériques.
L’ironie ? La stratégie 60/40 a été *conçue* pour couvrir l’inflation. Aujourd’hui, même ses défenseurs abandonnent le navire.
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Robert Kiyosaki vient de sonner le glas du portefeuille 60/40 — et il mise tout sur le Bitcoin comme voie de sortie face à l’effondrement financier.
L’auteur de « Père riche, Père pauvre » s’est déjà exprimé sur le sujet, mais ce coup-ci, c’est différent. La finance traditionnelle craque sous son propre poids, et Kiyosaki affirme en substance que l’ancienne stratégie 60% actions + 40% obligations est de l’argent mort dans un monde où les devises sont continuellement dévaluées.
Sa thèse : les actifs tangibles, (Bitcoin inclus), sont la vraie solution pour préserver sa richesse quand les banques centrales impriment à tout-va. Que vous y croyiez ou non, il fait partie d’un nombre croissant de voix institutionnelles qui délaissent les allocations traditionnelles au profit des actifs numériques.
L’ironie ? La stratégie 60/40 a été *conçue* pour couvrir l’inflation. Aujourd’hui, même ses défenseurs abandonnent le navire.