Une grande marque de crème glacée demande des changements sérieux dans la structure opérationnelle d'une fondation bien connue. L'entreprise exige trois réformes clés : d'abord, la mise en place d'un code d'éthique formel pour guider la prise de décision. Deuxièmement, l'introduction de limites de mandat pour les administrateurs afin d'assurer des perspectives nouvelles. Troisièmement, un ensemble de mises à niveau de la gouvernance supplémentaires qu'ils estiment très attendues.

Voici le hic : ils ne se contentent pas de parler fermement et de s'en aller. Malgré l'appel à ces réformes, la marque a confirmé qu'elle continuera à injecter des fonds dans la fondation pour les années à venir. C'est un jeu intéressant : maintenir un soutien financier tout en faisant pression publiquement pour la responsabilité institutionnelle. Ce mouvement reflète des attentes croissantes en matière de transparence et de cadres éthiques dans la gestion des fondations, similaire à la façon dont les organisations décentralisées débattent des structures de gouvernance aujourd'hui.