Un responsable de l’UE vient de révéler des informations intéressantes sur la manière dont Bruxelles renforce les contrôles sur les failles d’application.
Voici l’essentiel : il existe une disposition appelée la « clause d’absence de recours » qui bloque essentiellement l’exécution de toute réclamation légale contre la Belgique—ou, en réalité, contre tout État membre de l’UE—dans la juridiction européenne. Considérez-la comme un bouclier juridique qui empêche certaines parties extérieures de recouvrer des jugements au sein du bloc.
Mais la question est plus complexe. Les propositions ne sont pas seulement défensives. Elles visent aussi toute personne jouant les intermédiaires—spécifiquement, tout acteur facilitant la mise en œuvre de réclamations au nom de la Russie. Donc, si vous envisagez de servir de relais pour ces réclamations, l’UE a mis en place des mécanismes conçus pour rendre ce choix très peu attrayant.
Pourquoi est-ce important ? Eh bien, dans le paysage financier plus large—including digital assets—des barrières réglementaires comme celles-ci influent sur la manière dont les litiges transfrontaliers sont résolus (ou non). Lorsque les canaux d’exécution sont bloqués au niveau politique, cela affecte tout, de la récupération d’actifs aux stratégies de conformité pour les plateformes opérant sur plusieurs juridictions.
En résumé : l’UE met en place un cadre qui ne se contente pas de dire « non » à certaines réclamations—il décourage activement quiconque tenterait de le contourner.
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CompoundPersonality
· 12-05 12:11
Ce n’est pas encore en train de bloquer la Russie ? Cette méthode de l’UE est vraiment radicale, ils bloquent directement les intermédiaires au niveau légal...
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SignatureLiquidator
· 12-05 05:11
Merde, l’UE joue encore des tours ? Ils veulent carrément bloquer toute récupération d’actifs par la Russie.
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rekt_but_not_broke
· 12-03 13:10
Cette manœuvre de Bruxelles est vraiment coriace... Instaurer cette clause de non-recours revient à empêcher toute récupération de créances dans l’UE, c’est comme s’ils s’étaient forgé une armure juridique.
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ForkPrince
· 12-03 13:09
Putain, l’UE est en train de couper l’herbe sous le pied de tous les intermédiaires, c’est vraiment hardcore.
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SneakyFlashloan
· 12-03 13:05
ngl cette méthode est vraiment dure, l’UE joue clairement au jeu du “tu ne passeras pas outre moi”... Les sanctions contre la Russie s’étendent même au plan juridique.
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NFTFreezer
· 12-03 13:03
Merde, l’UE ne plaisante vraiment pas : non seulement ils bouchent toutes les failles juridiques, mais en plus ils s’attaquent directement aux intermédiaires russes, il n’y a vraiment plus moyen de contourner. Ça va vraiment avoir un gros impact sur les transferts cross-chain et la circulation des actifs.
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LayoffMiner
· 12-03 12:48
La méthode de l’UE est vraiment imparable, elle a complètement bloqué toutes les voies de contournement... Les sanctions contre la Russie deviennent de plus en plus sévères, j’ai l’impression que plus personne n’ose toucher à ces actifs sur liste noire.
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DegenDreamer
· 12-03 12:48
NGL, cette manœuvre de l’UE est vraiment radicale... Ils ont complètement bloqué toutes les possibilités pour les intermédiaires, il n’y a plus moyen d’aider la Russie à faire quoi que ce soit.
Un responsable de l’UE vient de révéler des informations intéressantes sur la manière dont Bruxelles renforce les contrôles sur les failles d’application.
Voici l’essentiel : il existe une disposition appelée la « clause d’absence de recours » qui bloque essentiellement l’exécution de toute réclamation légale contre la Belgique—ou, en réalité, contre tout État membre de l’UE—dans la juridiction européenne. Considérez-la comme un bouclier juridique qui empêche certaines parties extérieures de recouvrer des jugements au sein du bloc.
Mais la question est plus complexe. Les propositions ne sont pas seulement défensives. Elles visent aussi toute personne jouant les intermédiaires—spécifiquement, tout acteur facilitant la mise en œuvre de réclamations au nom de la Russie. Donc, si vous envisagez de servir de relais pour ces réclamations, l’UE a mis en place des mécanismes conçus pour rendre ce choix très peu attrayant.
Pourquoi est-ce important ? Eh bien, dans le paysage financier plus large—including digital assets—des barrières réglementaires comme celles-ci influent sur la manière dont les litiges transfrontaliers sont résolus (ou non). Lorsque les canaux d’exécution sont bloqués au niveau politique, cela affecte tout, de la récupération d’actifs aux stratégies de conformité pour les plateformes opérant sur plusieurs juridictions.
En résumé : l’UE met en place un cadre qui ne se contente pas de dire « non » à certaines réclamations—il décourage activement quiconque tenterait de le contourner.