Parfois, l'objectif n'est pas la victoire, mais la perpétuation. Les conflits génèrent des flux de trésorerie que la paix ne pourrait jamais offrir. Il y a un siècle, l'une des figures militaires les plus décorées de l'histoire américaine l'a dit sans détour : la guerre fonctionne comme un montage commercial où les profits se comptent en monnaie, mais les pertes se mesurent en vies humaines. Ce calcul n'a pas changé. La machine continue de tourner non pas parce qu'il faut remporter des batailles, mais parce que le système profite de leur prolongation.
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LayerZeroHero
· Il y a 6h
C'est trop poignant, voilà pourquoi la guerre ne s'arrête jamais.
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BoredStaker
· Il y a 6h
NGL, c’est ça le vrai visage du capitalisme... Une machine de guerre perpétuelle, ceux qui en profitent sont ceux qui attisent les flammes.
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TokenomicsTrapper
· Il y a 6h
Franchement, le modèle de conflit perpétuel, c’est juste la théorie du plus grand fou appliquée à la géopolitique… En fait, si tu lis les contrats sur les dépenses de défense, les calendriers d’acquisition garantissent littéralement des paiements continus, peu importe les résultats. J’avais déjà repéré ce schéma il y a des mois, alors que tout le monde était encore optimiste sur les “primes de paix”.
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LiquidityWitch
· Il y a 6h
NGL, c'est ça le vrai visage du capitalisme : la guerre ne s'arrêtera jamais parce que ça rapporte trop de pognon.
Parfois, l'objectif n'est pas la victoire, mais la perpétuation. Les conflits génèrent des flux de trésorerie que la paix ne pourrait jamais offrir. Il y a un siècle, l'une des figures militaires les plus décorées de l'histoire américaine l'a dit sans détour : la guerre fonctionne comme un montage commercial où les profits se comptent en monnaie, mais les pertes se mesurent en vies humaines. Ce calcul n'a pas changé. La machine continue de tourner non pas parce qu'il faut remporter des batailles, mais parce que le système profite de leur prolongation.