La banque centrale du Moyen-Orient vient de lâcher une bombe, pour aussitôt faire marche arrière.
Plus tôt dans la journée, l'autorité monétaire irakienne a publié une liste désignant certains groupes militants régionaux comme organisations terroristes, annonçant le gel immédiat de leurs avoirs. Le document nommait spécifiquement le Hezbollah et les forces houthies parmi les entités soumises à des restrictions financières.
Mais voici où cela devient étrange : en quelques heures, la même institution a publié une clarification urgente. Ils parlent d’une « erreur de procédure ». Apparemment, la liste a été rendue publique avant la finalisation des processus de révision interne. Les responsables affirment désormais que certains groupes ont été inclus par erreur, bien qu’ils n’aient aucun lien vérifié avec Daech ou d’autres réseaux terroristes reconnus internationalement.
Ce revirement rapide soulève des questions sur les procédures de vérification derrière de telles décisions financières à enjeux élevés. Les gels d’avoirs ont des implications majeures pour les transactions transfrontalières et peuvent entraîner des casse-têtes de conformité pour les institutions financières opérant dans la région.
Pour ceux qui suivent l’évolution de la réglementation dans les marchés émergents, cet incident illustre à quel point les annonces politiques peuvent évoluer rapidement — et pourquoi la diligence raisonnable est cruciale lorsqu’on navigue dans des juridictions complexes. L’épisode met également en lumière l’équilibre délicat que doivent maintenir les banques centrales entre préoccupations sécuritaires et sensibilités diplomatiques.
Aucune information pour l’instant sur une possible réintégration de la désignation initiale après un examen approprié, ou s’il s’agit d’un retrait complet de la politique.
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WenAirdrop
· Il y a 17h
Cette opération est incroyable, retournement en quelques heures... C'est vraiment une erreur de programmation haha
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La banque centrale fait des siennes ? Liste de gel publiée puis supprimée, ça doit être tellement gênant
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Attends, c'est ça la fameuse bourde financière ? C'est sérieux ?
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Avec ce coup de la banque centrale irakienne, les personnes qui font des transactions transfrontalières doivent être très frustrées
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On dit que c'est une erreur de programme, mais il y a sûrement une histoire derrière tout ça
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Une erreur sur un gel d'actifs ? Je pense que ce n'est pas si simple que ça
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Des politiques qui changent d'un jour à l'autre, faire des transactions ici c'est risqué...
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Avec une telle vitesse de retournement, ceux qui ne savent pas pourraient croire à une panne du système
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Alors, qu'est-ce que la banque centrale veut vraiment faire ? D'abord une action, puis un revirement, ils ont complètement désorienté le marché
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La due diligence est vraiment indispensable, cette farce en est la preuve
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BlindBoxVictim
· 12-04 15:49
Cette opération est vraiment incroyable, publier une annonce c’est comme péter dans le vent, ça se retourne en quelques heures, la banque centrale du Moyen-Orient joue à des jeux ou quoi ?
Le gel d’actifs, ça peut être une « erreur de procédure » ? Qui y croit, franchement, c’est juste un jeu politique.
Je voulais juste acheter au plus bas, et voilà que la liste est retirée, qui ose encore trader là-dedans ?
Erreur de procédure, c’est vraiment trop gros, une banque centrale comme ça, c’est fiable ? Au final, la DeFi est bien plus transparente.
Les institutions financières doivent être au bout du rouleau, un coup c’est gelé, un coup ça ne l’est plus, comment faire de la conformité ?
Le vrai scandale, c’est qu’on puisse retourner la situation comme ça, je n’ai vraiment pas envie que mon argent soit dans un endroit pareil.
Voilà pourquoi je continue de croire aux actifs on-chain, au moins on ne craint pas ce genre de farce.
Encore une excuse d’« erreur de procédure », de toute façon, la prise de décision centralisée, c’est toujours comme ça : un jour une règle, le lendemain l’inverse.
Avec ce genre de politique, qui oserait encore faire des affaires sur place ? Le risque est juste énorme.
La banque centrale du Moyen-Orient vient de lâcher une bombe, pour aussitôt faire marche arrière.
Plus tôt dans la journée, l'autorité monétaire irakienne a publié une liste désignant certains groupes militants régionaux comme organisations terroristes, annonçant le gel immédiat de leurs avoirs. Le document nommait spécifiquement le Hezbollah et les forces houthies parmi les entités soumises à des restrictions financières.
Mais voici où cela devient étrange : en quelques heures, la même institution a publié une clarification urgente. Ils parlent d’une « erreur de procédure ». Apparemment, la liste a été rendue publique avant la finalisation des processus de révision interne. Les responsables affirment désormais que certains groupes ont été inclus par erreur, bien qu’ils n’aient aucun lien vérifié avec Daech ou d’autres réseaux terroristes reconnus internationalement.
Ce revirement rapide soulève des questions sur les procédures de vérification derrière de telles décisions financières à enjeux élevés. Les gels d’avoirs ont des implications majeures pour les transactions transfrontalières et peuvent entraîner des casse-têtes de conformité pour les institutions financières opérant dans la région.
Pour ceux qui suivent l’évolution de la réglementation dans les marchés émergents, cet incident illustre à quel point les annonces politiques peuvent évoluer rapidement — et pourquoi la diligence raisonnable est cruciale lorsqu’on navigue dans des juridictions complexes. L’épisode met également en lumière l’équilibre délicat que doivent maintenir les banques centrales entre préoccupations sécuritaires et sensibilités diplomatiques.
Aucune information pour l’instant sur une possible réintégration de la désignation initiale après un examen approprié, ou s’il s’agit d’un retrait complet de la politique.