Un fait peu connu : pourquoi tant d’influenceurs qui font des collaborations commerciales enregistrent-ils une entreprise individuelle ? Le cœur du sujet tient en deux mots : optimisation fiscale.
Prenons un exemple : supposons un revenu annuel de 5 millions issus de collaborations commerciales. Dans certaines régions, une entreprise individuelle peut bénéficier d’un taux d’imposition forfaitaire de 3 %, ce qui est extrêmement avantageux. Après tout, les marques exigent des factures et les virements inter-entreprises sont incontournables.
Mais qu’en est-il ailleurs ?
À Hong Kong, la méthode de calcul est différente : les premiers 2 millions sont taxés à 8,25 %, les 3 millions suivants à 16,5 %, pour un total d’environ 660 000 à payer.
Sur le continent, en suivant la procédure normale, il y a d’abord 6 % de TVA, puis 25 % d’impôt sur les sociétés, ce qui fait au total près de 1,5 million à payer.
Voilà pourquoi les personnes avisées étudient toutes les solutions d’optimisation fiscale : pour un même revenu, différentes méthodes d’opération peuvent faire varier le montant réellement perçu du simple au triple. Bien entendu, il est essentiel d’optimiser tout en restant dans la légalité.
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GasWrangler
· Il y a 12h
Honnêtement, cette histoire d’arbitrage fiscal est aussi évidente que le mempool une fois qu’on analyse vraiment les données… 3 % contre 25 %, c’est comme comparer un débit de transactions optimisé à un débit complètement non optimisé, c’est manifestement supérieur si on fait bien les calculs.
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GasOptimizer
· Il y a 12h
Pour un revenu de 5 millions, une imposition forfaitaire de 3 % contre un impôt sur les sociétés de 25 %, l'écart d'arbitrage doit dépasser 1 million ? Les chiffres parlent d'eux-mêmes, pas étonnant que tout le monde fasse de l'optimisation fiscale.
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HalfIsEmpty
· Il y a 12h
Eh bien, ce prélèvement forfaitaire de 3 % est vraiment incroyable, pas étonnant que tout le monde cherche des endroits avantageux.
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BankruptcyArtist
· Il y a 12h
Mon pote, ce n'est vraiment pas une connaissance obscure, c'est une connaissance évidente, tout le monde dans le milieu fait comme ça.
1,5 million contre quelques centaines de milliers, à la place de n'importe qui, on ferait des recherches aussi, moi aussi j'ai envie d'apprendre.
L'essentiel, c'est de trouver le bon endroit, tous les endroits n'ont pas ces conditions.
C'est ça le vrai secret pour gagner de l'argent, ce n'est pas d'avoir beaucoup de fans.
J'ai rien du tout à part des impôts, ça me fait trop rire.
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ChainBrain
· Il y a 13h
Putain, un prélèvement forfaitaire de seulement 3 % ? C’est où cet endroit de rêve ? Comment ça se fait que je n’en ai jamais entendu parler ?
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Rugman_Walking
· Il y a 13h
Putain, 3 % d’imposition forfaitaire ? Je dois vraiment en parler sérieusement à mon conseiller fiscal...
Un fait peu connu : pourquoi tant d’influenceurs qui font des collaborations commerciales enregistrent-ils une entreprise individuelle ? Le cœur du sujet tient en deux mots : optimisation fiscale.
Prenons un exemple : supposons un revenu annuel de 5 millions issus de collaborations commerciales. Dans certaines régions, une entreprise individuelle peut bénéficier d’un taux d’imposition forfaitaire de 3 %, ce qui est extrêmement avantageux. Après tout, les marques exigent des factures et les virements inter-entreprises sont incontournables.
Mais qu’en est-il ailleurs ?
À Hong Kong, la méthode de calcul est différente : les premiers 2 millions sont taxés à 8,25 %, les 3 millions suivants à 16,5 %, pour un total d’environ 660 000 à payer.
Sur le continent, en suivant la procédure normale, il y a d’abord 6 % de TVA, puis 25 % d’impôt sur les sociétés, ce qui fait au total près de 1,5 million à payer.
Voilà pourquoi les personnes avisées étudient toutes les solutions d’optimisation fiscale : pour un même revenu, différentes méthodes d’opération peuvent faire varier le montant réellement perçu du simple au triple. Bien entendu, il est essentiel d’optimiser tout en restant dans la légalité.