#ETH走势分析 Fuir les montagnes russes : la voie du market maker prudent
Sur les marchés de prédiction, certains font tapis, d’autres encaissent les loyers.
Pour générer un flux de trésorerie stable sur le long terme, il faut mettre en place un double pare-feu : le premier repose sur les données et les algorithmes pour filtrer, le second sur votre propre discernement pour garder la porte. Notre objectif ultime est limpide : supprimer les palpitations, ne garder que les profits.
Barrière n°1 : ne jouer que les marchés « ennuyeux »
Le secret du market making prudent, c’est d’éviter tout actif susceptible de faire grimper l’adrénaline.
D’abord, fuyez les actifs au comportement digne d’un électrocardiogramme. Concentrez-vous sur les marchés à faible volatilité, c’est la base. Ne sortez pas de la zone de prix 0,10 à 0,90, et évitez absolument les variations extrêmes de l’ordre de 2 % — c’est le terrain de jeu des cygnes noirs.
Barrière n°2 : se nourrir du « salaire officiel »
Puisqu’on ne parie pas sur la hausse ou la baisse, il faut aller chercher le profit dans les récompenses officielles.
Sélectionnez d’abord les pools dont la récompense quotidienne moyenne dépasse 1,00 USDC, c’est le minimum syndical. Ensuite, parmi les marchés à rendement équivalent, privilégiez toujours celui à la volatilité la plus basse. Le vrai rapport qualité-prix, c’est le rendement maximal pour le risque minimal.
Barrière n°3 : ne soyez pas le dindon de la farce
La liquidité, c’est votre gilet de sauvetage — il faut que la profondeur de marché dépasse $10,000, sinon vous ne pourrez même pas bouger. Le volume d’échanges doit être équilibré : trop faible, il n’y a pas d’activité ; trop élevé, vous risquez d’être la cible des gros poissons et des initiés. Ce que vous cherchez, c’est de profiter du slippage des petits porteurs.
Il y a aussi une contrainte de temps : ne choisissez que les marchés dont le résultat sera connu entre 15 et 90 jours, pour limiter la durée d’exposition au risque.
Barrière n°4 : débusquer les pièges invisibles avec votre cerveau
C’est le cœur de la deuxième ligne de défense. Les risques qu’aucun algorithme ne peut détecter, c’est à votre bon sens de les éviter.
Trois règles d’or : ne touchez jamais aux cygnes noirs politiques ou juridiques, évitez les marchés aux règles floues ou incertaines, et ne vous jetez pas sur les sujets dont tout le monde parle — l’argent se gagne plus facilement sur les marchés confidentiels.
À quoi ressemble une opportunité parfaite ?
Quand un marché réunit ces quatre critères, n’hésitez plus : il est calme (rien de notable les deux dernières semaines), généreux (récompenses officielles attractives), populaire mais sans excès (les particuliers y participent sans que ce soit la folie), et les règles sont claires (résultat binaire, échéance dans un à deux mois).
En résumé, le market making prudent, c’est gagner l’argent de la patience, encaisser le loyer du temps.
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BrokenYield
· Il y a 11h
Non, c'est juste une version déguisée de Market Making 101... rester ennuyeux pendant que tout le monde poursuit les pics de volatilité. respectable je suppose, mais où est l'avantage quand les protocoles sont exploités ?
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OnChainDetective
· 12-11 08:13
Attendez... J'ai examiné cette logique de près, le point clé est cette barrière de liquidité de ,000, n'est-ce pas ? Je suis particulièrement curieux de savoir combien de "cibles parfaites" sont en réalité des pièges tendus en secret par des institutions... Ces marchés qui prétendent être "silencieux", y a-t-il vraiment aucune activité anormale sur la chaîne ? Il faut surveiller les groupes de portefeuilles pour en être certain.
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LiquidationSurvivor
· 12-09 09:16
Eh, cette logique semble bonne, mais il y a très peu de gens qui arrivent vraiment à résister à la tentation de suivre les tendances.
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BanklessAtHeart
· 12-09 09:15
Tu as tout à fait raison, il faut éviter ces actifs qui font battre le cœur trop fort. Le vrai secret, c’est de profiter discrètement du slippage des petits porteurs. Les gains sur les marchés peu fréquentés sont vraiment incroyables.
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ImpermanentSage
· 12-09 09:04
Encore un autre tutoriel pour percevoir des loyers de manière stable, ça sonne bien mais cette logique… Peut-elle vraiment éviter les cygnes noirs ? J’en doute.
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AirdropDreamer
· 12-09 09:04
Pour être honnête, j’adhère à cette logique. Mais, en réalité, il y a très peu de personnes dans notre communauté qui peuvent vraiment "couper le battement du cœur".
#ETH走势分析 Fuir les montagnes russes : la voie du market maker prudent
Sur les marchés de prédiction, certains font tapis, d’autres encaissent les loyers.
Pour générer un flux de trésorerie stable sur le long terme, il faut mettre en place un double pare-feu : le premier repose sur les données et les algorithmes pour filtrer, le second sur votre propre discernement pour garder la porte. Notre objectif ultime est limpide : supprimer les palpitations, ne garder que les profits.
Barrière n°1 : ne jouer que les marchés « ennuyeux »
Le secret du market making prudent, c’est d’éviter tout actif susceptible de faire grimper l’adrénaline.
D’abord, fuyez les actifs au comportement digne d’un électrocardiogramme. Concentrez-vous sur les marchés à faible volatilité, c’est la base. Ne sortez pas de la zone de prix 0,10 à 0,90, et évitez absolument les variations extrêmes de l’ordre de 2 % — c’est le terrain de jeu des cygnes noirs.
Barrière n°2 : se nourrir du « salaire officiel »
Puisqu’on ne parie pas sur la hausse ou la baisse, il faut aller chercher le profit dans les récompenses officielles.
Sélectionnez d’abord les pools dont la récompense quotidienne moyenne dépasse 1,00 USDC, c’est le minimum syndical. Ensuite, parmi les marchés à rendement équivalent, privilégiez toujours celui à la volatilité la plus basse. Le vrai rapport qualité-prix, c’est le rendement maximal pour le risque minimal.
Barrière n°3 : ne soyez pas le dindon de la farce
La liquidité, c’est votre gilet de sauvetage — il faut que la profondeur de marché dépasse $10,000, sinon vous ne pourrez même pas bouger. Le volume d’échanges doit être équilibré : trop faible, il n’y a pas d’activité ; trop élevé, vous risquez d’être la cible des gros poissons et des initiés. Ce que vous cherchez, c’est de profiter du slippage des petits porteurs.
Il y a aussi une contrainte de temps : ne choisissez que les marchés dont le résultat sera connu entre 15 et 90 jours, pour limiter la durée d’exposition au risque.
Barrière n°4 : débusquer les pièges invisibles avec votre cerveau
C’est le cœur de la deuxième ligne de défense. Les risques qu’aucun algorithme ne peut détecter, c’est à votre bon sens de les éviter.
Trois règles d’or : ne touchez jamais aux cygnes noirs politiques ou juridiques, évitez les marchés aux règles floues ou incertaines, et ne vous jetez pas sur les sujets dont tout le monde parle — l’argent se gagne plus facilement sur les marchés confidentiels.
À quoi ressemble une opportunité parfaite ?
Quand un marché réunit ces quatre critères, n’hésitez plus : il est calme (rien de notable les deux dernières semaines), généreux (récompenses officielles attractives), populaire mais sans excès (les particuliers y participent sans que ce soit la folie), et les règles sont claires (résultat binaire, échéance dans un à deux mois).
En résumé, le market making prudent, c’est gagner l’argent de la patience, encaisser le loyer du temps.