Les choses deviennent intéressantes : le 10 décembre, le compte WeChat du co-CEO d’un important exchange a été piraté. Ce qui est étrange, c’est que juste avant la perte de contrôle du compte, plusieurs adresses avaient déjà discrètement accumulé un meme coin appelé Mubarakah.
Le compte piraté a ensuite relayé du contenu lié à Mubarakah, et la trajectoire de ce token a explosé en un instant. Sa capitalisation boursière est passée de l’anonymat à 8 millions de dollars, et le prix a bondi de 0,001 $ à 0,008 $, soit x8 !
Mais combien de temps ce genre de pump « accidentel » peut-il tenir ? Actuellement, Mubarakah a déjà fortement chuté, sa capitalisation étant retombée à environ 3,1 millions de dollars. Ceux qui s’étaient positionnés à l’avance ont engrangé des profits colossaux, tandis que les investisseurs particuliers se retrouvent coincés au sommet.
S’agissait-il d’un simple accident de sécurité ou d’une mise en scène soigneusement orchestrée ? Cette opération laisse plus de questions que de réponses.
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SeeYouInFourYears
· 12-10 02:51
C’est encore cette routine, les chiffres noirs, les pulls, et les investisseurs particuliers qui prennent le dessus, et le scénario est tout à fait familier
Ces personnes osent vraiment utiliser directement le compte Big V comme outil
Le marché hupple semble cool, mais si nous avions su comment le distribuer, nous ne pourrions que monter la garde ?
Ça paraît plus professionnel qu’un groupe de fraudeurs...
Mais pour être honnête, qui croit vraiment que c’est une coïncidence haha
La pièce Meme est-elle juste pour la coupe ?
Quelle audace, cette manipulation flagrante
Attends, est-ce que c’est considéré comme du délit d’initié ?
Les investisseurs particuliers sont toujours la dernière prise de contrôle
C’est scandaleux, pourquoi personne ne s’en est encore occupé
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SerumSquirrel
· 12-10 02:51
C'est clairement un coup d'un infiltré, ce n'est pas possible que ce soit une telle coïncidence.
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Encore la même vieille combine, les petits porteurs sont toujours les dindons de la farce.
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De 8 millions à 3,1 millions, c'est le vrai visage d'un schéma de Ponzi.
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Le compte du CEO s'est fait hacker ? Tu me prends vraiment pour un idiot.
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Bonne chance à tous ceux qui sont bloqués au sommet.
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Ceux qui se sont positionnés à l'avance ont fait un max de bénéfices, ce business est trop louche.
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J'ai l'impression que quelqu'un joue la comédie ici.
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De toute façon, ce n'est jamais nous qui gagnons de l'argent.
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Les détails de cette opération sont vraiment "trop" bien synchronisés, c'est impressionnant.
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C'est ça les meme coins, ça ne dure qu'un instant.
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DAOdreamer
· 12-10 02:46
N'est-ce pas là un exemple typique de manipulation de cours par des initiés ? Les petits investisseurs sont encore en train de payer leur apprentissage.
Les choses deviennent intéressantes : le 10 décembre, le compte WeChat du co-CEO d’un important exchange a été piraté. Ce qui est étrange, c’est que juste avant la perte de contrôle du compte, plusieurs adresses avaient déjà discrètement accumulé un meme coin appelé Mubarakah.
Le compte piraté a ensuite relayé du contenu lié à Mubarakah, et la trajectoire de ce token a explosé en un instant. Sa capitalisation boursière est passée de l’anonymat à 8 millions de dollars, et le prix a bondi de 0,001 $ à 0,008 $, soit x8 !
Mais combien de temps ce genre de pump « accidentel » peut-il tenir ? Actuellement, Mubarakah a déjà fortement chuté, sa capitalisation étant retombée à environ 3,1 millions de dollars. Ceux qui s’étaient positionnés à l’avance ont engrangé des profits colossaux, tandis que les investisseurs particuliers se retrouvent coincés au sommet.
S’agissait-il d’un simple accident de sécurité ou d’une mise en scène soigneusement orchestrée ? Cette opération laisse plus de questions que de réponses.