Attendez, le journal THE Nature vient de retirer un énorme article sur le climat ?
Oui. L'étude de l'Institut de Potsdam en Allemagne que tout le monde a citée l'année dernière — celle qui clamait "$38 trillion de dégâts annuels d'ici 2049" — vient d'être retirée. Retractée. Disparue.
On dirait que ces chiffres apocalyptiques ne tenaient pas la route sous l'examen critique. Ça donne à réfléchir sur ce que d'autres "sciences établies" sont construites sur des bases fragiles. Quand même des revues à comité de lecture commencent à manger leurs propres gros titres, la confiance devient la vraie ressource rare.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
9 J'aime
Récompense
9
5
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
GateUser-cff9c776
· Il y a 11h
Oh là là, encore une "spectacle d'effondrement scientifique"... cette valorisation de 38 000 milliards de dollars, ce n'est pas simplement le prix plancher de la finance traditionnelle qui a été brisé ?
Selon la courbe de l'offre et de la demande, même les actifs de crédit issus de la revue par les pairs continuent de se déprécier, pas étonnant que tout le monde se tourne vers les données en chaîne [tête de chien]
Voir l'originalRépondre0
AlphaWhisperer
· 12-10 11:53
Hein ? 38 billions d'euros partis en fumée ? Mort de rire, c'est pour ça que je ne fais pas confiance à ces grands chiffres
Et l'intégrité scientifique ? Où est la peer review promise ?
Même Nature retire des articles, combien d'autres papiers sont encore en péril ?
Toutes ces prophéties apocalyptiques naissent comme ça, après avoir effrayé, ils effacent le message
Qu'est-ce qu'ils disent ? C'est ça le vrai FUD haha
Les articles ont été "avalés", la confiance ne peut pas non plus se manger
Attends, est-ce de la science ou du marketing ?
Voir l'originalRépondre0
FantasyGuardian
· 12-10 11:52
Putain, 38 billions de trillions qui disparaissent directement ? Est-ce que le visage de la communauté scientifique ne leur fait pas mal ?
Voir l'originalRépondre0
HalfBuddhaMoney
· 12-10 11:42
Hé, ça devient intéressant, le grand gâteau de 38 billions de dollars a disparu comme ça
Le consensus scientifique peut aussi se tromper, qui aurait pu le prévoir
La revue par les pairs, ça ressemble de plus en plus à un simple tampon en caoutchouc
Les données peuvent mentir, les reviewers peuvent aussi fermer les yeux
Vraiment, maintenant, toute information doit être questionnée, y compris celles qui portent une aura d'autorité
Cette opération, elle rappelle vraiment combien beaucoup de choses ne sont que "presque" correctes
Mais à l'inverse, le retrait d'une publication montre aussi que le système se corrige lui-même, c'est une bonne chose, non ?
Les vérités derrière les potins sont toujours une étape plus lente que les actualités
Voir l'originalRépondre0
SeeYouInFourYears
· 12-10 11:33
Haha, c'est vraiment embarrassant, 38 000 milliards de dollars, ils ont dit que c'était fini, et c'est fini
---
Alors, quelle est la position des rapports qui citent cet article maintenant ?
---
Encore une fois, la "science consensuelle" se fait rabaisser, mais les personnes dans le Web3 en ont déjà l'habitude
---
Attendez, est-ce qu'ils ont vraiment tout simplement retiré ? Sans expliquer pourquoi ?
---
Bon sang, la revue par les pairs est devenue la suppression par les pairs
---
C'est pourquoi je ne fais pas confiance aux chiffres de grandes institutions
---
Nature a aussi commencé à rejeter la faute, c'est vraiment le cas
Attendez, le journal THE Nature vient de retirer un énorme article sur le climat ?
Oui. L'étude de l'Institut de Potsdam en Allemagne que tout le monde a citée l'année dernière — celle qui clamait "$38 trillion de dégâts annuels d'ici 2049" — vient d'être retirée. Retractée. Disparue.
On dirait que ces chiffres apocalyptiques ne tenaient pas la route sous l'examen critique. Ça donne à réfléchir sur ce que d'autres "sciences établies" sont construites sur des bases fragiles. Quand même des revues à comité de lecture commencent à manger leurs propres gros titres, la confiance devient la vraie ressource rare.