Les discussions récentes dans des podcasts ont suscité des analyses intéressantes sur la façon dont les paysages des médias sociaux ont évolué au cours des dernières années. Un moment notable a capturé un échange sincère sur la transparence de l'information en ligne.
La conversation a abordé comment certains changements de plateforme ont fondamentalement modifié ce qui est supprimé versus ce qui reste visible. Avant ces changements, il y avait une inquiétude croissante que les récits puissent être étroitement contrôlés sur les principaux réseaux sociaux. L'intervenant attribue l'acquisition d'une figure technologique et ses changements de politique à la disruption de ce qui semblait être une trajectoire inévitable vers une modération centralisée du contenu.
Qu'est-ce qui rend cela particulièrement pertinent ? Cela reflète des débats plus larges dans les cercles crypto et Web3 sur qui contrôle les flux d'information. Les protocoles décentralisés promettent une résistance similaire à la censure due à un point de défaillance unique. Que vous soyez d'accord ou non avec l'exemple précis, la question fondamentale importe : une entité—qu'elle soit commerciale ou gouvernementale—devrait-elle avoir le pouvoir unilatéral de façonner le discours public ?
Cette tension ne disparaît pas. Au contraire, elle devient la bataille déterminante de notre ère numérique.
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gaslight_gasfeez
· Il y a 14h
ngl c'est pourquoi nous avons besoin de web3... les plateformes centralisées qui suppriment à leur guise sont vraiment abusives
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BloodInStreets
· Il y a 14h
Laissez tomber, le système des plateformes centralisées aurait dû disparaître depuis longtemps. Il est peut-être trop tard pour réagir maintenant. Mais la décentralisation n'est pas une solution miracle, au final, c'est toujours celui qui détient le token qui décide.
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retroactive_airdrop
· Il y a 14h
ngl c'est vraiment le point que le web3 devrait discuter... La décentralisation du pouvoir de l'information est plus importante que tout
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ChainDetective
· Il y a 14h
ngl La plateforme centralisée d'origine aurait dû être brisée depuis longtemps, la logique du web3 c'est ça même
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Encore cette vieille histoire... Le vrai problème n'est pas la plateforme, mais le fait que les gens ne veulent tout simplement pas une véritable liberté d'expression
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Pour briser le monopole de l'information, il faut compter sur la transparence sur la chaîne, tout le reste n'est que du bullshit
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Attendez, donc la décentralisation prônée actuellement... se retrouve finalement contrôlée par de grands investisseurs ? Mort de rire
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Je veux juste savoir, qui décide ce qu'est "le flux d'informations correct" ? C'est ça le vrai enjeu
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Vraiment, en regardant les mécanismes de modération de ces grands plateformes, c'est à s'y méprendre avec un nouveau système de censure
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En y repensant, le web3 ne peut pas résoudre le problème de la nature humaine, la technologie n'est qu'un outil
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OneBlockAtATime
· Il y a 14h
ngl c'est pourquoi nous avons besoin de Web3, les plateformes centralisées jouent la carte de la censure, allons nous voir sur la chaîne
Les discussions récentes dans des podcasts ont suscité des analyses intéressantes sur la façon dont les paysages des médias sociaux ont évolué au cours des dernières années. Un moment notable a capturé un échange sincère sur la transparence de l'information en ligne.
La conversation a abordé comment certains changements de plateforme ont fondamentalement modifié ce qui est supprimé versus ce qui reste visible. Avant ces changements, il y avait une inquiétude croissante que les récits puissent être étroitement contrôlés sur les principaux réseaux sociaux. L'intervenant attribue l'acquisition d'une figure technologique et ses changements de politique à la disruption de ce qui semblait être une trajectoire inévitable vers une modération centralisée du contenu.
Qu'est-ce qui rend cela particulièrement pertinent ? Cela reflète des débats plus larges dans les cercles crypto et Web3 sur qui contrôle les flux d'information. Les protocoles décentralisés promettent une résistance similaire à la censure due à un point de défaillance unique. Que vous soyez d'accord ou non avec l'exemple précis, la question fondamentale importe : une entité—qu'elle soit commerciale ou gouvernementale—devrait-elle avoir le pouvoir unilatéral de façonner le discours public ?
Cette tension ne disparaît pas. Au contraire, elle devient la bataille déterminante de notre ère numérique.