Lors d'une récente conférence de presse présentant son décret présidentiel sur l'IA, l'ancien président a été confronté à une question pointue : qu'est-ce qui le préoccupe le plus la nuit—prendre l'avantage sur ses rivaux dans la course technologique ou les risques existentiels que l'IA fait peser sur l'humanité elle-même ?

Sa réponse ? « Les deux. »

Cette brève réponse illustre une tension qu'il devient impossible d'ignorer. D'un côté, il y a la partie géopolitique—les nations qui se livrent à une partie d'échecs pour dominer la prochaine vague de suprématie technologique. De l'autre, le malaise croissant face au fait que l'intelligence artificielle pourrait déraper hors de notre contrôle.

Pour ceux qui évoluent dans la crypto et le Web3, il ne s'agit pas d'un discours politique abstrait. La régulation de l'IA, la concentration de la puissance computationnelle et la politique technologique internationale façonneront tout, de l'infrastructure blockchain aux modèles de gouvernance décentralisée. Lorsque les gouvernements commencent à choisir leur camp sur le développement de l'IA, les effets d'onde touchent chaque recoin de l'innovation numérique.