Je viens de vérifier les données on-chain—6 portefeuilles détenant chacun entre 2 et 4 % d’un jeton à faible capitalisation ? C’est une recette pour une catastrophe imminente.

Mais voici le truc : de gros sacs ne se traduisent pas toujours par de gros gains. En fait, lorsque autant d’offre est concentrée entre si peu de mains, on assiste essentiellement à une poudrière. Si l’une d’elles décide de partir, tout le graphique s’effondre.

C’est un cas classique qui montre pourquoi la surveillance des baleines est importante. Le gros argent peut faire bouger les marchés, c’est sûr. Mais les détentions concentrées ? C’est une tout autre bête.