Dans « League of Legends », une partie ne se gagne pas forcément en tuant plus de sbires ou en infligeant plus de dégâts, mais lors de une ou deux waves de teamfights clés — si vous gagnez, vous pourrez pousser la tour et prendre le dragon, ce qui pose les bases de la victoire ; si vous perdez, une remontée peut rapidement se produire.
Regardez à quel point T1 valorise le petit dragon, c’est une question de vie ou de mort pour le prendre, et le rôle du dragon spirituel à l’état de fin de partie est tellement puissant qu’il peut réellement influencer l’issue de la partie. De nombreux traders particuliers commettent une erreur similaire : Beaucoup pensent que le « trading à haute fréquence » ne concerne pas le last-hitting Mais plutôt passer son temps à engager des fights sans intérêt Alors que ce n’est pas le moment de fight, ils forcent quand même l’engagement Cependant, le seul ou deux moments clés pour gagner une fight sont ceux où l’on peut vraiment faire la différence Si chaque trade est traité comme une position lourde, il est évident qu’on se fera liquider par le marché Cela reflète un décalage dans la manière de penser le trading.
Apprendre le « last-hitting » en trading Dans LOL, le last-hit est une compétence de base — accumuler stable de l’économie, attendre que l’équipement soit prêt. En trading, « last-hit » signifie : Prendre des positions avec peu de capital Rester sensible au marché Accumuler intuition et expérience Connaître le rythme tout en contrôlant le risque Ce n’est pas du « trading à haute fréquence », mais une participation planifiée au marché, tout comme un pro ne rate pas chaque vague de sbires, mais ne dépense pas non plus son dash pour un seul sbire. Beaucoup pensent à tort que « last-hit » équivaut à « trader toutes les minutes », aboutissant à : Une emotion de chase, de panic buying et selling Des stops répétés dans un marché en oscillation Une surcharge de travail et de frais pour de petites fluctuations Ce n’est pas une façon d’accumuler un avantage, mais une auto-destruction lente.
Pourquoi tu « ouvres des fights au hasard » tout le temps ? Les comportements typiques dans le trading : 1. Se lancer sans vision claire — attendre la confirmation fondamentale, des signaux techniques faibles, ou une humeur de marché incertaine, et entrer basé uniquement sur la sensation. 2. Entrer dans une position sans que ses collègues ne suivent — son système de trading est incomplet, gestion de position ou stop-loss non préparés, et on mise tout d’un coup. 3. Se battre dans une période de forte tendance — alors que la tendance est baissière, on cherche à « bottom fish » ; quand la volatilité est faible, on veut « casser la résistance ». 4. Gagner une fight mais ne pas pousser la tour — après avoir enfin réalisé un profit, on sort trop tôt, manquant la vague haussière principale ; ou encore hésiter au moment du stop, transformant une petite perte en une grande. Les petits traders ont souvent cette mentalité : craindre de manquer une opportunité. Mais cette mentalité de « combat en continu » vous fait perdre à la première vraie occasion — soit vous avez déjà tout perdu, soit vous avez déjà perdu votre courage.
Quand arrivent vraiment les « fights clés » ? Dans LOL, ces fights clés ont souvent lieu lors de : Rafraîchissement du dragon spirituel / du Baron L’entrée en cooldown d’un skill clé adverse Le moment où nos équipements atteignent un stade critique Une erreur de positionnement ou un décalage dans la formation ennemie Dans le trading, les signaux pour un « fight clé » peuvent inclure : Le rebond après une tendance confirmée (supports de moyenne mobile, rupture de sommet précédent) Une confluence fondamentale et technique (résultats financiers supérieurs aux attentes + rupture de pattern) Une inversion après une extrême émotion du marché (après une flambée de VIX, puis un reflux) Une opportunité créée par un événement de liquidité (asset de qualité sous une « licorne noire ») Ces occasions ne sont pas quotidiennes. Une semaine, un mois, voire une année, peuvent n’offrir qu’une ou deux fois cette chance. Comme en avril dernier, le marché était une « licorne noire » pour beaucoup, mais une véritable « fosse d’or » pour d’autres. Pourtant, beaucoup de petits traders, dans leur recherche de ces « fights clés », gaspillent leur skill et leur capital dans des rencontres inutiles en jungle.
Comment « attendre, tout en frappant dur » Affûte ta « vision » Établis une liste claire de signaux pour entrer en position, par exemple : quels indicateurs doivent converger pour ouvrir ? Ne pas trader hors de ta « vision » — si cela ne correspond pas à ton système, considère cela comme un piège Différencier « last-hit » et « ouvrir une fight » Utilise une très petite taille de position, par exemple 1-5%, pour rester en contact avec le marché — c’est ton « last-hit » Seulement lorsque les signaux clés apparaissent, ouvre une position plus importante, par exemple 10-20% ou plus, selon ta tolérance au risque Apprendre à « évoluer » La majorité du temps, le marché est en « oscillation sans tendance » Dans ces moments, ton rôle n’est pas de prédire la direction, mais de protéger ton capital et accumuler de l’information Comme un professionnel — éviter le one-shoot, c’est un avantage Définir un « objectif de fight » Quel est le ratio risque/rendement de cette opération ? Par exemple 1:2 Quand considérer qu’une « fight » est gagnée ? Et quand faut-il « se replier » ?
Tu ne joues pas à la « bagarre générale » Le marché peut parfois ressembler à un mode « bagarre générale » — rythme rapide, opportunités apparentes, ressusciter après chaque mort. Mais c’est une illusion. Le vrai trading ressemble plutôt à une ligue professionnelle : La majorité du temps en développement, en positionnement, en attente Une erreur peut tout faire échouer La victoire ne vient pas du nombre d’ennemis tués, mais d’avoir détruit la nexus L’illusion la plus courante chez les petits traders, c’est de voir le marché comme un terrain de jeu « où l’on peut trader à tout moment ». Mais les vrais gagnants n’agissent qu’au moment où ils ont un avantage absolu.
Conclusion Pour reprendre les mots de LOL : On peut mal last-hitter, on peut faire du trading « de survie », mais on ne doit pas perdre tout l’avantage en ouvrant une fight au mauvais moment. Le trading est pareil. Évite ces trades « optionnels », participe le moins possible à ces marchés « où peu importe si tu gagnes ou perds ». Concentre ton énergie, ton capital, ton émotion sur cette ou ces deux waves de « fights clés ». Avant cela — reste à last-hitter, garde ta vision, ne meurs pas. Le marché te donnera toujours des opportunités, mais à condition que tu sois encore en scène quand elles arrivent. La différence entre un expert et un amateur, ce n’est pas qui sais mieux saisir l’opportunité, mais qui sait dire « non » à la majorité des occasions. Comme dans le jeu, en trading, et dans la vie.
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mochedan
· 12-17 04:20
Tout comme dans League of Legends, la victoire sur le marché provient de la patience à attendre quelques moments clés ; il ne s'agit pas de sauter impulsivement à chaque occasion, mais de jouer de manière exceptionnelle au moment crucial.
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Discovery
· 12-16 10:28
Tout comme dans LOL, la victoire sur le marché vient de la patience à attendre quelques mouvements critiques ; il ne s'agit pas de sauter sur chaque opportunité, mais de jouer intelligemment au bon moment.
Dans « League of Legends », une partie ne se gagne pas forcément en tuant plus de sbires ou en infligeant plus de dégâts, mais lors de une ou deux waves de teamfights clés — si vous gagnez, vous pourrez pousser la tour et prendre le dragon, ce qui pose les bases de la victoire ; si vous perdez, une remontée peut rapidement se produire.
Regardez à quel point T1 valorise le petit dragon, c’est une question de vie ou de mort pour le prendre, et le rôle du dragon spirituel à l’état de fin de partie est tellement puissant qu’il peut réellement influencer l’issue de la partie.
De nombreux traders particuliers commettent une erreur similaire :
Beaucoup pensent que le « trading à haute fréquence » ne concerne pas le last-hitting
Mais plutôt passer son temps à engager des fights sans intérêt
Alors que ce n’est pas le moment de fight, ils forcent quand même l’engagement
Cependant, le seul ou deux moments clés pour gagner une fight sont ceux où l’on peut vraiment faire la différence
Si chaque trade est traité comme une position lourde, il est évident qu’on se fera liquider par le marché
Cela reflète un décalage dans la manière de penser le trading.
Apprendre le « last-hitting » en trading
Dans LOL, le last-hit est une compétence de base — accumuler stable de l’économie, attendre que l’équipement soit prêt.
En trading, « last-hit » signifie :
Prendre des positions avec peu de capital
Rester sensible au marché
Accumuler intuition et expérience
Connaître le rythme tout en contrôlant le risque
Ce n’est pas du « trading à haute fréquence », mais une participation planifiée au marché, tout comme un pro ne rate pas chaque vague de sbires, mais ne dépense pas non plus son dash pour un seul sbire.
Beaucoup pensent à tort que « last-hit » équivaut à « trader toutes les minutes », aboutissant à :
Une emotion de chase, de panic buying et selling
Des stops répétés dans un marché en oscillation
Une surcharge de travail et de frais pour de petites fluctuations
Ce n’est pas une façon d’accumuler un avantage, mais une auto-destruction lente.
Pourquoi tu « ouvres des fights au hasard » tout le temps ?
Les comportements typiques dans le trading :
1. Se lancer sans vision claire — attendre la confirmation fondamentale, des signaux techniques faibles, ou une humeur de marché incertaine, et entrer basé uniquement sur la sensation.
2. Entrer dans une position sans que ses collègues ne suivent — son système de trading est incomplet, gestion de position ou stop-loss non préparés, et on mise tout d’un coup.
3. Se battre dans une période de forte tendance — alors que la tendance est baissière, on cherche à « bottom fish » ; quand la volatilité est faible, on veut « casser la résistance ».
4. Gagner une fight mais ne pas pousser la tour — après avoir enfin réalisé un profit, on sort trop tôt, manquant la vague haussière principale ; ou encore hésiter au moment du stop, transformant une petite perte en une grande.
Les petits traders ont souvent cette mentalité : craindre de manquer une opportunité.
Mais cette mentalité de « combat en continu » vous fait perdre à la première vraie occasion — soit vous avez déjà tout perdu, soit vous avez déjà perdu votre courage.
Quand arrivent vraiment les « fights clés » ?
Dans LOL, ces fights clés ont souvent lieu lors de :
Rafraîchissement du dragon spirituel / du Baron
L’entrée en cooldown d’un skill clé adverse
Le moment où nos équipements atteignent un stade critique
Une erreur de positionnement ou un décalage dans la formation ennemie
Dans le trading, les signaux pour un « fight clé » peuvent inclure :
Le rebond après une tendance confirmée (supports de moyenne mobile, rupture de sommet précédent)
Une confluence fondamentale et technique (résultats financiers supérieurs aux attentes + rupture de pattern)
Une inversion après une extrême émotion du marché (après une flambée de VIX, puis un reflux)
Une opportunité créée par un événement de liquidité (asset de qualité sous une « licorne noire »)
Ces occasions ne sont pas quotidiennes.
Une semaine, un mois, voire une année, peuvent n’offrir qu’une ou deux fois cette chance.
Comme en avril dernier, le marché était une « licorne noire » pour beaucoup, mais une véritable « fosse d’or » pour d’autres.
Pourtant, beaucoup de petits traders, dans leur recherche de ces « fights clés », gaspillent leur skill et leur capital dans des rencontres inutiles en jungle.
Comment « attendre, tout en frappant dur »
Affûte ta « vision »
Établis une liste claire de signaux pour entrer en position, par exemple : quels indicateurs doivent converger pour ouvrir ?
Ne pas trader hors de ta « vision » — si cela ne correspond pas à ton système, considère cela comme un piège
Différencier « last-hit » et « ouvrir une fight »
Utilise une très petite taille de position, par exemple 1-5%, pour rester en contact avec le marché — c’est ton « last-hit »
Seulement lorsque les signaux clés apparaissent, ouvre une position plus importante, par exemple 10-20% ou plus, selon ta tolérance au risque
Apprendre à « évoluer »
La majorité du temps, le marché est en « oscillation sans tendance »
Dans ces moments, ton rôle n’est pas de prédire la direction, mais de protéger ton capital et accumuler de l’information
Comme un professionnel — éviter le one-shoot, c’est un avantage
Définir un « objectif de fight »
Quel est le ratio risque/rendement de cette opération ? Par exemple 1:2
Quand considérer qu’une « fight » est gagnée ?
Et quand faut-il « se replier » ?
Tu ne joues pas à la « bagarre générale »
Le marché peut parfois ressembler à un mode « bagarre générale » — rythme rapide, opportunités apparentes, ressusciter après chaque mort.
Mais c’est une illusion.
Le vrai trading ressemble plutôt à une ligue professionnelle :
La majorité du temps en développement, en positionnement, en attente
Une erreur peut tout faire échouer
La victoire ne vient pas du nombre d’ennemis tués, mais d’avoir détruit la nexus
L’illusion la plus courante chez les petits traders, c’est de voir le marché comme un terrain de jeu « où l’on peut trader à tout moment ».
Mais les vrais gagnants n’agissent qu’au moment où ils ont un avantage absolu.
Conclusion
Pour reprendre les mots de LOL :
On peut mal last-hitter, on peut faire du trading « de survie », mais on ne doit pas perdre tout l’avantage en ouvrant une fight au mauvais moment.
Le trading est pareil.
Évite ces trades « optionnels », participe le moins possible à ces marchés « où peu importe si tu gagnes ou perds ».
Concentre ton énergie, ton capital, ton émotion sur cette ou ces deux waves de « fights clés ».
Avant cela — reste à last-hitter, garde ta vision, ne meurs pas.
Le marché te donnera toujours des opportunités, mais à condition que tu sois encore en scène quand elles arrivent.
La différence entre un expert et un amateur, ce n’est pas qui sais mieux saisir l’opportunité, mais qui sait dire « non » à la majorité des occasions.
Comme dans le jeu, en trading, et dans la vie.