【链文】Le parlement du Ghana a récemment adopté la loi sur les fournisseurs de services d'actifs virtuels, ce qui signifie que les transactions de cryptoactifs sont officiellement reconnues légalement sur place. Les institutions doivent s'inscrire auprès de la Banque centrale ou de l'autorité de régulation des valeurs mobilières pour pouvoir exercer légalement.
L'attitude de la Banque centrale mérite également d'être signalée. Selon le plan officiel, le Ghana commencera à explorer des outils de règlement numérique soutenus par des actifs en 2026, y compris des jetons stables soutenus par l'or. Cela reflète non seulement l'ouverture locale envers les actifs Web3, mais suggère également que des actifs traditionnels comme l'or seront progressivement numérisés.
Il est encore plus intéressant que le Ghana combine la réforme des actifs numériques avec les paiements transfrontaliers et le développement des infrastructures de marché. Cette combinaison vise clairement à tirer parti de la commodité des cryptoactifs pour améliorer le système financier national. Pour la politique cryptographique de l'ensemble de la région africaine, c'est un progrès emblématique.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
11 J'aime
Récompense
11
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
LiquidatedThrice
· Il y a 11h
La question des stablecoins en or est vraiment bien pensée par le Ghana, mais il faut encore attendre 2026... Si cela se concrétise, ce sera génial.
Un autre pays veut sauver son économie grâce à la crypto, j'y crois mais ne soyons pas trop enthousiastes trop tôt.
Cette manœuvre du Ghana est un signe de lucidité en Afrique, les autres pays doivent suivre.
En gros, c'est toujours une question de réglementation, la phase d'inscription peut tuer de nombreuses petites plateformes d'échange...
Un jeton en or ? Ça sonne bien, mais j'ai peur que cela ne dévie lors de l'exécution.
Voir l'originalRépondre0
Whale_Whisperer
· 12-23 05:08
Le mouvement du Ghana est intéressant, le stablecoin en or ne sera disponible qu'en 2026 ? C'est un peu lent... Mais la légalisation est effectivement un grand pas, l'Afrique se réveille.
Voir l'originalRépondre0
MetaMisfit
· 12-23 05:05
Ghana a vraiment frappé fort avec cette action, en numérisant l'or. Si cela continue ainsi, le paysage financier de l'Afrique va devoir être réécrit.
Voir l'originalRépondre0
DegenGambler
· 12-23 05:04
Des stablecoins adossés à l'or ? Ce coup de Ghana est intéressant, l'ère des actifs traditionnels sur la blockchain arrive.
L'Afrique se prépare discrètement, nous devons rester attentifs.
Attendez, ça commence seulement en 2026... Ce rythme est un peu lent.
Le véritable grand événement est la légalisation, après cela, ce sera amusant.
Voir l'originalRépondre0
MetaMasked
· 12-23 04:54
L'opération du Ghana est vraiment incroyable, j'aime cette idée de jeton stable adossé à l'or, enfin un pays a pensé à mettre des actifs traditionnels sur la chaîne.
Voir l'originalRépondre0
DeFiDoctor
· 12-23 04:39
Les stablecoins en or semblent intéressants, mais il faut voir si, en 2026, ils pourront réellement faire fonctionner le code. J'ai vu trop de cas d'échec de projets comme ceux des banques centrales africaines... En ce qui concerne le système d'inscription, ça passe, au moins le cadre est clair.
Voir l'originalRépondre0
CoffeeOnChain
· 12-23 04:39
L'opération du Ghana est vraiment impressionnante, je veux juste voir si le stablecoin en or peut vraiment être mis en œuvre, j'ai l'impression que c'est encore un jeton PPT ?
Le Ghana a légalisé les transactions de Cryptoactifs, la Banque centrale prévoit un stablecoin soutenu par de l'or.
【链文】Le parlement du Ghana a récemment adopté la loi sur les fournisseurs de services d'actifs virtuels, ce qui signifie que les transactions de cryptoactifs sont officiellement reconnues légalement sur place. Les institutions doivent s'inscrire auprès de la Banque centrale ou de l'autorité de régulation des valeurs mobilières pour pouvoir exercer légalement.
L'attitude de la Banque centrale mérite également d'être signalée. Selon le plan officiel, le Ghana commencera à explorer des outils de règlement numérique soutenus par des actifs en 2026, y compris des jetons stables soutenus par l'or. Cela reflète non seulement l'ouverture locale envers les actifs Web3, mais suggère également que des actifs traditionnels comme l'or seront progressivement numérisés.
Il est encore plus intéressant que le Ghana combine la réforme des actifs numériques avec les paiements transfrontaliers et le développement des infrastructures de marché. Cette combinaison vise clairement à tirer parti de la commodité des cryptoactifs pour améliorer le système financier national. Pour la politique cryptographique de l'ensemble de la région africaine, c'est un progrès emblématique.