Récemment, un terme est devenu très populaire sur Internet — la "ligne de coupure" des Américains. Beaucoup pensent que cette expression est exagérée, après tout, les États-Unis restent le pays le plus riche du monde, à quel point une personne ordinaire peut-elle être vulnérable ?
Mais en regardant les discussions de nombreux internautes américains, j’ai découvert que : non seulement ils l’admettent, mais ils donnent aussi des détails encore plus poignants.
**Les chiffres sont très clairs : près de 40 % des Américains ne peuvent pas couvrir 400 dollars d’urgence**
Les résultats de l’enquête de la Réserve fédérale sont là. Une panne de voiture, un traitement dentaire, une blessure accidentelle — n’importe quelle situation imprévue peut faire craquer cette barrière de protection que possède à peine la moitié de la population. À ce moment-là, il n’y a vraiment plus d’issue.
**Pourquoi ne pas s’en sortir grâce aux petits boulots ?**
La première réaction de beaucoup est : alors, il faut livrer des repas à domicile. Mais la réalité est bien plus dure.
D’abord, livrer des repas nécessite une voiture, du carburant, une assurance. Les coûts d’assurance auto aux États-Unis sont exorbitants. Ensuite, pour ceux qui sont déjà en difficulté, la voiture est souvent la première chose à être vendue pour rembourser des dettes. Ainsi, l’économie des petits boulots devient une activité secondaire pour ceux qui ont une voiture, ce n’est en aucun cas une bouée de sauvetage pour les pauvres.
**Le vrai poison : le système de vérification des actifs**
C’est là que l’on se sent le plus impuissant. Pour recevoir une aide (comme des coupons alimentaires), de nombreux États exigent que votre patrimoine total — y compris les dépôts bancaires et les véhicules — ne dépasse pas 2000 dollars.
Que signifie cela ? Cela veut dire que vous devez d’abord épuiser vos économies, vendre votre voiture, et devenir complètement sans ressources, pour pouvoir obtenir de l’aide. Le système vous enferme dans la pauvreté, sans vous donner d’échelle pour en sortir.
Il y a une phrase qui résume bien cela : "Vagabonder n’est pas une faille du système, c’est sa fonction. La présence des sans-abri est une menace ultime pour les travailleurs salariés."
C’est précisément parce qu’il n’y a pas de véritable protection que, dès qu’on chute, on tombe dans un abîme sans fond. C’est pourquoi il faut accepter des salaires faibles, ne pas oser prendre de congé, et travailler d’arrache-pied. Voilà la logique réelle du système.
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Frontrunner
· Il y a 18h
Ce système de contrôle des actifs est vraiment extrême, même si tu meurs de faim, je ne te laisserai pas avoir de secours
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MetaverseLandlady
· Il y a 19h
Maman, ce système de contrôle des actifs est vraiment exceptionnel, il faut vider ses économies pour recevoir une aide, ce n'est pas une conception de système, c'est du PUA.
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MoneyBurner
· Il y a 19h
Putain, cette stratégie du système d'audit des actifs est vraiment incroyable... Pas étonnant que ces gens du monde des cryptos cherchent à décentraliser, le système financier traditionnel est en fait un piège — il faut être complètement ruiné pour recevoir une aide, n'est-ce pas les pousser à prendre des risques inconsidérés ?
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ZenZKPlayer
· Il y a 19h
Putain, le système de vérification des actifs est vraiment génial, une exploitation systématique
Récemment, un terme est devenu très populaire sur Internet — la "ligne de coupure" des Américains. Beaucoup pensent que cette expression est exagérée, après tout, les États-Unis restent le pays le plus riche du monde, à quel point une personne ordinaire peut-elle être vulnérable ?
Mais en regardant les discussions de nombreux internautes américains, j’ai découvert que : non seulement ils l’admettent, mais ils donnent aussi des détails encore plus poignants.
**Les chiffres sont très clairs : près de 40 % des Américains ne peuvent pas couvrir 400 dollars d’urgence**
Les résultats de l’enquête de la Réserve fédérale sont là. Une panne de voiture, un traitement dentaire, une blessure accidentelle — n’importe quelle situation imprévue peut faire craquer cette barrière de protection que possède à peine la moitié de la population. À ce moment-là, il n’y a vraiment plus d’issue.
**Pourquoi ne pas s’en sortir grâce aux petits boulots ?**
La première réaction de beaucoup est : alors, il faut livrer des repas à domicile. Mais la réalité est bien plus dure.
D’abord, livrer des repas nécessite une voiture, du carburant, une assurance. Les coûts d’assurance auto aux États-Unis sont exorbitants. Ensuite, pour ceux qui sont déjà en difficulté, la voiture est souvent la première chose à être vendue pour rembourser des dettes. Ainsi, l’économie des petits boulots devient une activité secondaire pour ceux qui ont une voiture, ce n’est en aucun cas une bouée de sauvetage pour les pauvres.
**Le vrai poison : le système de vérification des actifs**
C’est là que l’on se sent le plus impuissant. Pour recevoir une aide (comme des coupons alimentaires), de nombreux États exigent que votre patrimoine total — y compris les dépôts bancaires et les véhicules — ne dépasse pas 2000 dollars.
Que signifie cela ? Cela veut dire que vous devez d’abord épuiser vos économies, vendre votre voiture, et devenir complètement sans ressources, pour pouvoir obtenir de l’aide. Le système vous enferme dans la pauvreté, sans vous donner d’échelle pour en sortir.
Il y a une phrase qui résume bien cela : "Vagabonder n’est pas une faille du système, c’est sa fonction. La présence des sans-abri est une menace ultime pour les travailleurs salariés."
C’est précisément parce qu’il n’y a pas de véritable protection que, dès qu’on chute, on tombe dans un abîme sans fond. C’est pourquoi il faut accepter des salaires faibles, ne pas oser prendre de congé, et travailler d’arrache-pied. Voilà la logique réelle du système.