Ce matin, j'ai jeté un œil à la tendance de l'ETH, mon cœur s'est mis à battre la chamade avec la bougie — hier soir, le rebond sur 2900 n'a pas été cassé, mais la montée suivante manque de puissance, et maintenant, à environ 2950, je ne veux même pas bouger. Ce genre de mouvement est plus difficile à supporter que d'attendre la livraison d'une commande.

Les analystes techniques surveillent le support à 2920 et la barrière des 3000, tous deux observant les mouvements de l'autre côté. Mais honnêtement, dans ce genre de marché en stagnation, vouloir faire du trading à court terme est risqué : on se fait souvent rabrouer, et au final, les gains risquent de ne pas couvrir même les frais de transaction.

Si récemment, tu trouves aussi que trader devient fatigant, c'est que le marché envoie un signal. Lorsqu'on entre dans une période de forte volatilité et de consolidation, la plus grande erreur est de ne regarder que les hausses et baisses. Ceux qui ont vraiment vécu des cycles savent qu'à ce moment-là, il faut faire un ajustement : pas forcément tout quitter, mais déplacer une partie de son attention du suivi des tendances vers la sécurisation de ses actifs. N'oublie pas, quand le marché est bon, on cherche à maximiser le rendement ; en marché latéral, c'est celui qui reste stable et durable qui gagne.

Pourquoi parler de stablecoins quand on discute de marché ? Parce que la gestion de patrimoine, c'est comme la défense — il ne suffit pas d'attaquer, il faut aussi renforcer la ligne de défense. Quand la direction du marché est floue, plutôt que de s'user dans la volatilité, il vaut mieux placer une partie de ses actifs dans des stablecoins décentralisés et surcollatéralisés, pour profiter d'une croissance passive 24h/24. C'est une stratégie de défense souvent négligée : utiliser un mécanisme stable pour protéger ses actifs. Quand l'ETH oscille autour de 2900, cette partie de ton portefeuille continue de croître en toute stabilité, c'est ça la vraie gestion du risque.