Alerte de Citibank : "La croissance mondiale chute en dessous de 2 % au second semestre 2025", une situation jamais vue depuis plus de 10 ans.

Citigroup prévoit que la croissance mondiale en 2025 sera inférieure à 2 %, en pointant du doigt les droits de douane, le marché s'inquiète d'une récession à court terme et des impacts de la réorganisation de la chaîne d'approvisionnement. (Contexte : La croissance des ventes au détail aux États-Unis en août a été meilleure que prévu, la consommation anticipée est-elle vraiment un signe de force économique ? Les experts s'inquiètent du risque d'une reprise en K) (Informations complémentaires : L'Ukraine a adopté une loi sur "la légalisation des crypto-monnaies" et sur une fiscalité à faible taux, pour trouver une reprise économique en temps de guerre) Le dernier rapport de Citigroup pousse le marché vers une posture défensive. La banque indique que l'économie mondiale pourrait ne croître que de moins de 2 % au second semestre 2025, atteignant un niveau exceptionnellement bas en plus de dix ans. Le principal facteur d'alerte n'est pas le prix du pétrole ou le désordre financier, mais l'augmentation significative des droits de douane par le président américain Trump, obligeant les entreprises et les consommateurs à faire face à des coûts plus élevés. Citigroup a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour le second semestre 2025 à moins de 2 %, ce qui a rapidement érodé la confiance du marché dans un "atterrissage en douceur". D'autres institutions, bien que différentes, s'accordent sur la même direction : Fitch prévoit 2,4 %, l'OCDE estime 3,2 %. Bien que les chiffres diffèrent, la conclusion est très cohérente : la dynamique de croissance mondiale est en déclin. Le taux effectif des droits de douane aux États-Unis a atteint 19,5 %, un niveau jamais vu depuis 1933, augmentant directement les coûts commerciaux et réduisant l'ampleur des investissements transnationaux. Impact des droits de douane : débordement des coûts et "anticipation de la demande" Le gouvernement Trump imposera des droits de douane sur des articles tels que les médicaments et les camions lourds en octobre 2025. À court terme, les entreprises choisissent souvent d'absorber une partie des coûts, mais à moyen terme, les prix devront inévitablement augmenter, comprimant davantage la demande finale. Le modèle de la Banque centrale européenne montre que la croissance des importations mondiales est passée de 4,2 % en 2024 à 1,5 % en 2026. Les entreprises avancent leurs achats pour éviter les droits de douane futurs, créant ainsi une "anticipation de la demande". Lorsque les stocks seront épuisés, les importations et la production diminueront simultanément, entraînant une chute rapide de la croissance. Face à des politiques changeantes, les entreprises multinationales accélèrent leurs stratégies de "délocalisation amicale", transférant une partie de la production de la Chine continentale et du Mexique vers des régions aux relations politiques plus stables. Bien que cela puisse diversifier les risques, cela ajoute de la complexité et des coûts, en particulier dans des secteurs comme les médicaments et les composants automobiles, où les exigences en matière de timing et de qualité sont extrêmement élevées. Les décisions d'investissement sont contraintes d'être retardées ou fragmentées, ce qui ralentit également le cycle des dépenses en capital et amplifie les fluctuations économiques. Rebond en 2026 : l'aube est encore assombrie par des ombres géopolitiques Citigroup estime que la croissance mondiale pourrait rebondir à 2,5 % en 2026. Les facteurs de soutien incluent une réduction marginale de l'impact des droits de douane, les principales économies pourraient élargir leur fiscalité et réduire les taux à court terme, ainsi qu'une stabilisation des prix de l'énergie. Cependant, le rapport admet également que la force de la reprise est fragile, avec un PIB américain se situant entre 1,5 % et 1,9 %, bien en dessous de la moyenne historique. L'inflation et les risques de conflit planent toujours comme l'épée de Damoclès. Les investisseurs doivent prêter attention à l'évolution des politiques commerciales et au rythme auquel les banques centrales gèrent l'inflation, et réévaluer les secteurs bénéficiant de la reconstruction de la chaîne d'approvisionnement, tels que la fabrication haut de gamme en Amérique du Nord et certaines pièces d'énergie verte en Europe. Rapports connexes Les données PCE et PIB du Q2 aux États-Unis montrent une "économie robuste mais l'inflation persiste", la probabilité d'une baisse des taux d'intérêt en octobre diminue, le Bitcoin chute près de 110 000 dollars. Les responsables de la Réserve fédérale critiquent Trump pour "une baisse des taux trop rapide" : un taux de chômage élevé n'est pas un signe de récession économique, l'indépendance monétaire doit être rétablie. <Alerte de Citigroup : "La croissance mondiale en dessous de 2 % au second semestre 2025", une situation que l'on n'a pas vue depuis plus de 10 ans> Cet article a été initialement publié sur BlockTempo, le média d'actualités blockchain le plus influent.

Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
  • Récompense
  • Commentaire
  • Reposter
  • Partager
Commentaire
0/400
Aucun commentaire
  • Épingler
Trader les cryptos partout et à tout moment
qrCode
Scan pour télécharger Gate app
Communauté
Français (Afrique)
  • 简体中文
  • English
  • Tiếng Việt
  • 繁體中文
  • Español
  • Русский
  • Français (Afrique)
  • Português (Portugal)
  • Bahasa Indonesia
  • 日本語
  • بالعربية
  • Українська
  • Português (Brasil)