Jin10 données 3 octobre, le ministre italien de l'Économie Giancarlo Giorgetti a déclaré dans le plan budgétaire pluriannuel du gouvernement que la Banque centrale européenne devrait reprendre la réduction des taux d'intérêt pour relancer une économie de la zone euro quasiment stagnante. Dans le document budgétaire, il a écrit : « La stagnation globale de l'économie européenne indique qu'un environnement de taux d'intérêt plus accommodant serait préférable tout en respectant les responsabilités de la Banque centrale européenne. » Le plan budgétaire approuvé par le cabinet italien jeudi soir estime que les dépenses d'intérêts de la dette publique italienne passeront de 3,9 % du PIB en 2025 et 2026 à 4,1 % en 2027 et 4,3 % en 2028, et que le ratio de la dette au PIB passera de 134,9 % en 2024 à 136,2 % en 2025 et 137,4 % en 2026.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Ministre de l'Économie d'Italie : la Banque centrale européenne devrait abaisser davantage les taux d'intérêt.
Jin10 données 3 octobre, le ministre italien de l'Économie Giancarlo Giorgetti a déclaré dans le plan budgétaire pluriannuel du gouvernement que la Banque centrale européenne devrait reprendre la réduction des taux d'intérêt pour relancer une économie de la zone euro quasiment stagnante. Dans le document budgétaire, il a écrit : « La stagnation globale de l'économie européenne indique qu'un environnement de taux d'intérêt plus accommodant serait préférable tout en respectant les responsabilités de la Banque centrale européenne. » Le plan budgétaire approuvé par le cabinet italien jeudi soir estime que les dépenses d'intérêts de la dette publique italienne passeront de 3,9 % du PIB en 2025 et 2026 à 4,1 % en 2027 et 4,3 % en 2028, et que le ratio de la dette au PIB passera de 134,9 % en 2024 à 136,2 % en 2025 et 137,4 % en 2026.