Les constructeurs automobiles européens résistent fermement à la dernière impulsion industrielle de Bruxelles. Qu'est-ce qui fait tout ce bruit ?
L'UE souhaite stimuler la fabrication locale—pensez véhicules électriques et technologie solaire estampillée "Made in Europe". Cela semble patriotique, non ? Mais voici la tournure : les entreprises automobiles avertissent que cela pourrait en réalité *ralentir* la transition vers les véhicules électriques. Les réglementations proposées obligeraient un pourcentage minimum de composants issus du pays. Les fabricants soutiennent que cela augmente les coûts, limite la flexibilité de la chaîne d'approvisionnement, et pourrait rendre les véhicules électriques moins compétitifs à l’échelle mondiale.
Nous assistons donc à une tension classique : protectionnisme versus efficacité du marché. Bruxelles veut l'indépendance industrielle. Les constructeurs automobiles veulent garder une production fluide et abordable. Qui gagne ? Probablement ni l’un ni l’autre, si les règles deviennent trop rigides. La transition vers les véhicules électriques nécessite rapidité et échelle—pas des goulots d'étranglement bureaucratiques.
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ChainMelonWatcher
· Il y a 22h
Encore la même chose : les régulateurs veulent "fabriqué en Europe", mais ils ont directement fait grimper les coûts... Où est l'EV abordable promis ?
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BearMarketBard
· Il y a 22h
Encore une fois, c'est toujours la même chose. L'UE veut faire de la localisation, mais cela se retourne contre eux, c'est à mourir de rire.
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OnChainSleuth
· Il y a 22h
Encore la même vieille rengaine, le protectionnisme ne peut pas arrêter la loi du marché, cette manœuvre de l'UE est purement une pierre qu'ils se jettent à eux-mêmes.
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GmGmNoGn
· Il y a 22h
Encore cette politique protectionniste de l'UE... cela va vraiment se retourner contre eux, avec des coûts qui augmentent, comment les véhicules électriques vont-ils continuer à innover ?
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quiet_lurker
· Il y a 22h
nah c'est typique de l'UE encore une fois... vouloir la souveraineté mais finir par se bloquer soi-même
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DataPickledFish
· Il y a 22h
Encore cette même politique protectionniste, en clair l'UE veut se positionner, mais finit par se couper elle-même la gorge.
Plus de régulation, c'est plus cher. Ce calcul, les bureaucrates européens ne peuvent vraiment pas le faire ?
Parier tout sur la chaîne d'approvisionnement locale, mais au final, les véhicules électriques doivent encore se battre pour le prix avec ceux fabriqués en Chine. Comment faire ?
Ils veulent vraiment jouer la carte de la patience, après tout, ils ne sont pas pressés.
La flexibilité de la chaîne d'approvisionnement disparaît, les coûts augmentent, et ce sont finalement les consommateurs qui paient la facture. Cette vague de régulation s'apparente à une auto-castration.
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FallingLeaf
· Il y a 23h
Encore cette politique protectionniste, c'est vraiment risible. L'UE insiste sur la localisation, ce qui bloque en fait le développement des VE, un exemple typique de rétroaction politique.
Les constructeurs automobiles européens résistent fermement à la dernière impulsion industrielle de Bruxelles. Qu'est-ce qui fait tout ce bruit ?
L'UE souhaite stimuler la fabrication locale—pensez véhicules électriques et technologie solaire estampillée "Made in Europe". Cela semble patriotique, non ? Mais voici la tournure : les entreprises automobiles avertissent que cela pourrait en réalité *ralentir* la transition vers les véhicules électriques. Les réglementations proposées obligeraient un pourcentage minimum de composants issus du pays. Les fabricants soutiennent que cela augmente les coûts, limite la flexibilité de la chaîne d'approvisionnement, et pourrait rendre les véhicules électriques moins compétitifs à l’échelle mondiale.
Nous assistons donc à une tension classique : protectionnisme versus efficacité du marché. Bruxelles veut l'indépendance industrielle. Les constructeurs automobiles veulent garder une production fluide et abordable. Qui gagne ? Probablement ni l’un ni l’autre, si les règles deviennent trop rigides. La transition vers les véhicules électriques nécessite rapidité et échelle—pas des goulots d'étranglement bureaucratiques.